Faute grave, vraiment?

Le 06 mai 2025
Faute grave, vraiment?
Vous contestez un licenciement pour faute grave ? Découvrez comment Maître Gwendoline Lefort peut défendre vos droits et obtenir justice.

Licencié pour faute grave ? Cette situation peut laisser un sentiment d'injustice et de perte. C'est le cas de notre client, un salarié d'une grande enseigne de distribution, accusé d'avoir badgé pour un collègue. Cette accusation lui a coûté son droit à une indemnité de licenciement et à son préavis. Mais grâce à l'intervention de Maître Gwendoline Lefort, avocate à Saint-Sébastien-sur-Loire près de Nantes et Vertou, son cas a pris une tournure différente. Découvrez comment notre cabinet a changé le cours de cette affaire.

Un licenciement contesté pour faute grave

Notre client, salarié d'une grande surface, se voyait reprocher une faute grave : avoir badgé à la place d'un collègue. Cette accusation grave mettait en péril ses droits à l'indemnité de licenciement et au préavis. Face à cette situation, il a fait appel à Maître Gwendoline Lefort pour contester cette décision. Sa principale motivation était de recouvrer ses droits, estimant que la faute qui lui était reprochée ne justifiait pas une telle sanction. L'expertise et la réputation de Maître Lefort dans le domaine du droit social ont été déterminantes dans son choix.

Une stratégie de défense sur-mesure

Pour contester cette décision, notre cabinet a élaboré une stratégie reposant sur plusieurs éléments clés. Notre première découverte a été que, bien que l'employeur ait qualifié la faute de grave, il avait continué à faire travailler le salarié pendant la procédure, ce qui remettait en question le caractère immédiat et sérieux de la faute. La durée exceptionnellement longue de la procédure a également été un point central de notre argumentation, outre le préjudice minime pour la société.

Analyse du dossier en profondeur

Nous avons commencé par analyser en détail le dossier de notre client, cherchant toutes les incohérences dans l'argumentation de l'employeur. Cette analyse minutieuse a révélé que l'employeur avait continué à solliciter le salarié pour des heures supplémentaires, un comportement clairement incompatible avec la notion de faute grave.

Saisir le Conseil de Prud'hommes

Forts de ces éléments, nous avons saisi le Conseil de Prud'hommes pour contester la validité du licenciement. L'objectif était de démontrer que la faute n'était ni réelle ni sérieuse, et à défaut, qu'elle n'était pas suffisamment grave pour justifier un licenciement sans préavis.

Résultats probants et rétablissement des droits

Notre client était préoccupé par la possibilité de récupérer ses droits perdus, mais les résultats obtenus furent pleinement satisfaisants. Le Conseil de Prud'hommes a jugé que le licenciement reposait sur une cause réelle et sérieuse mais a exclu la faute grave. Cette décision a permis à notre client de récupérer deux mois de salaire correspondant au préavis ainsi que son indemnité de licenciement.

A retenir : Si vous êtes confronté à un licenciement pour faute grave, il est crucial de ne pas accepter cette décision sans la contester. Le pouvoir disciplinaire de l'employeur est contrôlé par le juge. La jurisprudence offre de nombreuses possibilités pour évaluer la solidité d'un tel dossier. N'hésitez pas à consulter un avocat en droit social. 

Avez-vous besoin d'une défense efficace ?

Vous faire accompagner par un expert en droit social peut faire toute la différence. Maître Gwendoline Lefort, avec plus de dix ans d'expérience, est à votre écoute pour défendre vos intérêts. Basée à Saint-Sébastien-sur-Loire, près de Nantes et Vertou, elle offre une expertise reconnue et un accompagnement personnalisé pour chaque cas. Pour toute problématique similaire, contactez-nous et donnez-vous les meilleures chances de succès.